Accéder aux fonds de documentaires et de films, en extraire des passages, les annoter, les comparer, reconstituer un sujet, l'emporter avec soi, voilà des tâches difficiles sur ce type de contenu volumineux, surtout si rien n'a été prévu lors de l'enregistrement ou de l'archivage.
De ce fait, l'usage de la vidéo est généralement restreint, et le montage réservé aux spécialistes.
Au sein du Labo, un atelier va être organisé sur le sujet. Il couvrira les nouvelles techniques d'analyse des ruptures dans les séquences, de l'audio, des personnes ou objets apparaissant dans les films. Des algorithmes récents font la synthèse de la parole à la volée, éventuellement des traductions, permettant la recherche et l'indexation avec le moins d'intervention humaine possible.
En attendant, le mur du Labo démontre les possibilités de sélection et d'annotation dans les séquences elles-mêmes, ou sur des arrêts sur image restant liés au contenu principal. Dans le futur, des fonctions de recherche seront testées ainsi que l'envoi des extractions par simple geste sur des tablettes ou des feuilles de papier électronique gérant la vidéo.
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