Plusieurs centaines de visiteurs au Labo BnF lors des journées du patrimoine. Album d'une sélection de photos prises par un humain et les robots, en toute liberté (une occasion de présenter les sciences cognitives pour le futur des bibliothèques):
Le Labo a bien évolué en trois mois (plaquette pédagogique, notamment). Certes, il n'intègre pas les toutes dernières sorties (Kindle 3, nouveaux Sony Readers par exemple, Samsung Galaxy Tab). C'est que le rythme qu'il impose est celui de la réflexion, de la pause, face à un flux permanent de nouvelles technologies et un temps effréné, qui n'est pas celui de la recherche.
@ sobookonline Oui, la médiation était indispensable. Nous avons intégré aux readers des contenus et des interfaces uniques (Tous les Styles sur le prototype blanc, par exemple, et nous testons aussi des ouvrages de Gallica recomposés comme l'Hypnerotomachia de 1499). Cela pose bien les bases des problématiques liées au passage au numérique et aux échanges avec le mur de sélection. Nous allons les faire évoluer. Avant la fin du mois, des dispositifs à base de "papier" Pearl, d'e-Ink, le plus contrasté et rapide, puis d'autres de plus grandes tailles, certains en couleur, des tablettes type iPad, et peut-être un prototype flexible. En même temps, vous avez raison, laissons du temps au temps. Le Labo couvre des contenus, usages, et publics très différents. Les conférences, ateliers, expérimentations, échanges sur l'Internet vont permettre de s'approprier ces technologies, source d'une rupture consommée dans les trois prochaines années.
Le Labo a bien évolué en trois mois (plaquette pédagogique, notamment). Certes, il n'intègre pas les toutes dernières sorties (Kindle 3, nouveaux Sony Readers par exemple, Samsung Galaxy Tab). C'est que le rythme qu'il impose est celui de la réflexion, de la pause, face à un flux permanent de nouvelles technologies et un temps effréné, qui n'est pas celui de la recherche.
RépondreSupprimer@ sobookonline
RépondreSupprimerOui, la médiation était indispensable.
Nous avons intégré aux readers des contenus et des interfaces uniques (Tous les Styles sur le prototype blanc, par exemple, et nous testons aussi des ouvrages de Gallica recomposés comme l'Hypnerotomachia de 1499). Cela pose bien les bases des problématiques liées au passage au numérique et aux échanges avec le mur de sélection.
Nous allons les faire évoluer.
Avant la fin du mois, des dispositifs à base de "papier" Pearl, d'e-Ink, le plus contrasté et rapide, puis d'autres de plus grandes tailles, certains en couleur, des tablettes type iPad, et peut-être un prototype flexible.
En même temps, vous avez raison, laissons du temps au temps. Le Labo couvre des contenus, usages, et publics très différents. Les conférences, ateliers, expérimentations, échanges sur l'Internet vont permettre de s'approprier ces technologies, source d'une rupture consommée dans les trois prochaines années.